Les conséquences de la décision de l'ISAF sur le développement du Moth
Quelles sont les conséquences de la décision de l'ISAF sur le développement du Moth dans le monde et en France?
Finalement, cette question vient à se demander quel est désormais le statut du Bladerider dans la classe Moth International. Car rappelons le une des principales motivations de l'émergence du Bladerider est de devenir un bateau pour les JO, 2012 au mieux, 2016 au pire ...
- Le Bladerider a loupé sont entrée dans le cercle restreint des bateaux olympiques. Même pour 2016 c'est pas gagné dixit Rohan !
- Le Bladerider redevient donc un design de Moth parmi tant d'autres, et un chantier de Moth parmi tant d'autres. On peut citer ses concurents qui minent de rien font ont fait l'essentiel du développement du bateau et de la flotte (Fastacraft avec son Prowler, Fullforce avec son Mistress, et bien d'autres designs d'amateurs éclairés.)
Honnêtement je n'en sais rien; mais ce que je ressents c'est que les choses sont beaucoup plus claires maintenant et la situation est beaucoup plus saine au sein de la classe.
Le Bladerider est désormais un design comme un autre et point à la ligne.
- Le choix de la monotypie est donc discutable si le Bladerider veut continuer sa vie dans la classe Moth qui est une classe à développement avec jauge ouverte. Les innovations technologiques remettrons donc en cause les performances du Bladerider dans quelques années lorsque des bateaux plus rapides et plus fiables seront sur le marché.
- A moins que Bladerider International ne décide de crée son propre circuit de régate ouvert exclusivement au Bladerider et créer sa propre classe internationale. C'est le souhait d'une bonne partie des concepteurs du Bladerider. Mais aujourd'hui clairement cette position est diffcilement tenable du fait de son éviction du statut de candidat aux JO.
Nous allons donc voir si la position de Bladerider International et le concept du bateau évolue suite à la décision de l'ISAF.
Le Bladerider pourrait avoir toute sa place au sein d'un circuit de voile extrême high performance, suivant l'exemple du BMX dans les X Games. Une bonne partie des deçus de l'ISAF (catamarans, skiffs, moth, etc.) pourrait en effet faire scission et créer un circuit mondial très médiatisé et sponsorisé de bateaux high performance. Mais avant qu'une telle organisation voit le jour avec un circuit fiable, il peut s'écouler au moins 2 ou 3 ans.
Ce serait de toute manière une très bonne nouvelle pour le développement de la voile dans le monde. Et que notre sport ne soit pas livré aux mains et au bon vouloir de vieux régatiers en blaster sur des quillards "de sport" !
Finalement, cette question vient à se demander quel est désormais le statut du Bladerider dans la classe Moth International. Car rappelons le une des principales motivations de l'émergence du Bladerider est de devenir un bateau pour les JO, 2012 au mieux, 2016 au pire ...
- Le Bladerider a loupé sont entrée dans le cercle restreint des bateaux olympiques. Même pour 2016 c'est pas gagné dixit Rohan !
- Le Bladerider redevient donc un design de Moth parmi tant d'autres, et un chantier de Moth parmi tant d'autres. On peut citer ses concurents qui minent de rien font ont fait l'essentiel du développement du bateau et de la flotte (Fastacraft avec son Prowler, Fullforce avec son Mistress, et bien d'autres designs d'amateurs éclairés.)
Cyril sur son Bladerider à la Trinté cet automne. (crédits photo: Alex Marmorat)
Est-ce une bonne chose ou non pour la Classe Moth?Honnêtement je n'en sais rien; mais ce que je ressents c'est que les choses sont beaucoup plus claires maintenant et la situation est beaucoup plus saine au sein de la classe.
Le Bladerider est désormais un design comme un autre et point à la ligne.
- Le choix de la monotypie est donc discutable si le Bladerider veut continuer sa vie dans la classe Moth qui est une classe à développement avec jauge ouverte. Les innovations technologiques remettrons donc en cause les performances du Bladerider dans quelques années lorsque des bateaux plus rapides et plus fiables seront sur le marché.
- A moins que Bladerider International ne décide de crée son propre circuit de régate ouvert exclusivement au Bladerider et créer sa propre classe internationale. C'est le souhait d'une bonne partie des concepteurs du Bladerider. Mais aujourd'hui clairement cette position est diffcilement tenable du fait de son éviction du statut de candidat aux JO.
Nous allons donc voir si la position de Bladerider International et le concept du bateau évolue suite à la décision de l'ISAF.
Le Bladerider pourrait avoir toute sa place au sein d'un circuit de voile extrême high performance, suivant l'exemple du BMX dans les X Games. Une bonne partie des deçus de l'ISAF (catamarans, skiffs, moth, etc.) pourrait en effet faire scission et créer un circuit mondial très médiatisé et sponsorisé de bateaux high performance. Mais avant qu'une telle organisation voit le jour avec un circuit fiable, il peut s'écouler au moins 2 ou 3 ans.
Ce serait de toute manière une très bonne nouvelle pour le développement de la voile dans le monde. Et que notre sport ne soit pas livré aux mains et au bon vouloir de vieux régatiers en blaster sur des quillards "de sport" !